Sans ces remorques, peut-être n'aurions nous jamais fait connaissance. C'est lors d'une de nos balades préférées que nous en avons vu une la première fois. Une femme qui revenait du bourg avec trois enfants dont un, le tout jeune Marti, dans une ancienne remorque à lait. Bien sûr Isabelle nous avait invité à la suivre jusqu'à chez elle et je dois avouer que c'est l'étrangeté de cette rencontre d'un autre temps qui nous a fait refuser. Et ce n'est que, quelques années plus tard après la rencontre et l'invitation tellement spontanée de Ç'ian tout près de Ricouillet, nous oserons enfin pénétrer dans ce monde de tous les possibles et où les mots respect, partage et convivialité ont encore un sens. Et oui, la vie m'a rendu misanthrope et heureusement que les Fourmidables sont là pour que je reste un peu ouvert aux autres.
Isabelle tu as bien fait de ne pas indiquer le mon de la commune où officie ce curé pas très catholique, je me serais fait le plaisir d'aller uriner à sa porte. La preuve que les curés sont d'ordinaires êtres humains, il faut juste tomber sur le bon.
Dernière précision sur cette généreuse introduction à l'image de celle qui l'a écrite. Nous n'avons pas tout quitté pour partir à la rencontre des étoiles, c'est beaucoup moins poétique, j'en avais assez et mes articulations aussi de l'humidité presque normande.
les fourmidables
il y a 2 ans
Mon étrangeté d'un autre temps a fait fuir Hervé et Chantal, mais leur curiosité les a ramené chez nous, à Ricouillet, un lieu magique, quelques tours de magie, de sorcellerie, une potion magique de sympathie et nous voilà toujours plusieurs années après des amis. Je vais contrarier Hervé, mais il a l 'habitude, oui, le temps humide de la Sarthe ne convient pas à nos explorateurs, mais les étoiles et les volcans les transportent souvent loin des paysages gadouilleux de chez nous. Nous en profitons en lisant leur récit avec des photos surprenantes. Pour ce curé, il s'en repentira jusqu'au jugement dernier et oui, même la religion laisse passer des failles cruelles envers une pauvre femme et ses enfants sans abris sous une pluie battante.......heureusement que d'autre personnes durant toutes ces années de randonnée ont su être plus humain et accueillant . Merci Hervé et Chantal pour votre amitié et ce mot. BISOUS.
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Sans ces remorques, peut-être n'aurions nous jamais fait connaissance. C'est lors d'une de nos balades préférées que nous en avons vu une la première fois. Une femme qui revenait du bourg avec trois enfants dont un, le tout jeune Marti, dans une ancienne remorque à lait. Bien sûr Isabelle nous avait invité à la suivre jusqu'à chez elle et je dois avouer que c'est l'étrangeté de cette rencontre d'un autre temps qui nous a fait refuser. Et ce n'est que, quelques années plus tard après la rencontre et l'invitation tellement spontanée de Ç'ian tout près de Ricouillet, nous oserons enfin pénétrer dans ce monde de tous les possibles et où les mots respect, partage et convivialité ont encore un sens. Et oui, la vie m'a rendu misanthrope et heureusement que les Fourmidables sont là pour que je reste un peu ouvert aux autres.
Isabelle tu as bien fait de ne pas indiquer le mon de la commune où officie ce curé pas très catholique, je me serais fait le plaisir d'aller uriner à sa porte. La preuve que les curés sont d'ordinaires êtres humains, il faut juste tomber sur le bon.
Dernière précision sur cette généreuse introduction à l'image de celle qui l'a écrite. Nous n'avons pas tout quitté pour partir à la rencontre des étoiles, c'est beaucoup moins poétique, j'en avais assez et mes articulations aussi de l'humidité presque normande.
Mon étrangeté d'un autre temps a fait fuir Hervé et Chantal, mais leur curiosité les a ramené chez nous, à Ricouillet, un lieu magique, quelques tours de magie, de sorcellerie, une potion magique de sympathie et nous voilà toujours plusieurs années après des amis. Je vais contrarier Hervé, mais il a l 'habitude, oui, le temps humide de la Sarthe ne convient pas à nos explorateurs, mais les étoiles et les volcans les transportent souvent loin des paysages gadouilleux de chez nous. Nous en profitons en lisant leur récit avec des photos surprenantes. Pour ce curé, il s'en repentira jusqu'au jugement dernier et oui, même la religion laisse passer des failles cruelles envers une pauvre femme et ses enfants sans abris sous une pluie battante.......heureusement que d'autre personnes durant toutes ces années de randonnée ont su être plus humain et accueillant . Merci Hervé et Chantal pour votre amitié et ce mot. BISOUS.