La partie 8 (93 pages), un petit livre, étant énorme, les commentaires seront certainement en plusieurs parties.
5 km de plus par rapport à l'endroit où nous nous sommes retrouvés le jour de votre départ, c'est rageant, on aurait pu encore passer un peu de temps ensemble, les boules un peu quand même. Vous avez dû être déçus de ne pas nous voir débarquer. Mais voilà, ne sachant pas les routes que vous alliez emprunter, on attendait quelques jours pour que, au cours d'un appel à Ricouillet, tu leur donnes ta localisation. Et nous avions alors l'idée de vous retrouver le surlendemain. Sachant ce qui s'est passé après, j'ai des regrets de ne pas avoir tenté. Bah ! L'histoire est faite.
Nous avons raté cette maison du bonheur.
Et voilà encore une coïncidence. Rencontrer quelqu'un qui a une fille habitant près d'Alençon...
Rue de la gendarmerie- maison du bonheur, étonnant tout ça.
Marti ferait'il un bon inspecteur ? En tout cas, les réflexes sont là.
Qu'est-ce que c'est cette éducation ? Manger des bonbons le soir après s'être brossés les dents ? J'y crois pas, surtout quand on voit vos super sourires à tous ! Comme quoi, il n'y a pas vraiment de règles.
Suspects d'une "raide partie ", les personnes âgées sont bien au courant de l'actualité.
Des crêpes friables sur de la glace, ça doit être un régal. Ouais c'est chouette de repartir avec des attentions de vos hôtes.
Il y a des personnes au moins aussi folles que vous : courir un chariot à la taille, ça je n'ai jamais vu ni entendu. "Vindiou", "le temps fait dormir les légumes ", etc, etc, c'est incroyable ce que ce que vous avez pu partager. Marti a un sens d'observation aiguisé et on se demande où il puise son énergie débordante. Oui je suis d'accord avec toi Isabelle, à 80 ans, avoir l'énergie de ce couple, alors ça vaut le coup de vieillir.
chantal
il y a 2 ans
Partie 8 page 30
Je suis d'accord avec Marti, l'eau proposée par le maire, n'inspire pas confiance. Sans doute, comme tu l'écris Isabelle, avons nous tort. Il faut parfois laisser l'aspect de côté... "Lamborghini" te poursuit Marti. Tu aurais bien des goûts de luxe.
Les remarques à l'égard de ton physique sont flatteuses bien sûr et pertinentes mais je crains que ces personnes aient tout de même un problème d'appréciation pour Marti... ou de vue.... J'imagine le plaisir que cela t'a procuré. Ça fait du bien.
Ouais le linge sur l'herbe, ça fait bien manouche.
Tiens tiens Marti a des envies d'exotisme, triangle des Bermudes. Faut bien rêver.
Après avoir eu Eric au téléphone nous disant que vous étiez sur St Point, nous décidons d'aller à votre rencontre, préparons le repas et filons. Avons bien vu le château de Lamartine mais point de temps pour s'y attarder, pas plus que le cimetière. Bien sûr nous interrogeons mais personne n'a vu ce genre de randonneurs. Il y a un petit marché local où nous achetons des pâtisseries, jus de pomme, dans l'espoir... Nous faisons plein de routes mais pas d'indices. Alors nous poursuivons
en montant à 529 m sur 4,5 km en voiture. Pas une goutte de sueur. Et là, au col, une maison où nous avons appris par les propriétaires que vous étiez bien passés là et que vous leur aviez parlé ! Super contents, nous attaquons la descente, étendues de vignes magnifiques, c'est la Bourgogne et arrivons à Pierreclos. Là un bistrot-épicerie où vous avez été vus, sans rien acheter il y a environ 2 h. Alors là, bien décidés à vous trouver, nous battons la campagne mais au bout d'un temps, il est déjà tard et désespérés, nous allons devoir regagner le gîte sans vous avoir vus. Et là, énorme déception. Pire encore quand le lendemain, Eric nous apprendra que nous sommes passés à quelques mètres de la maison, paradis des canards.
chantal
il y a 2 ans
Partie 8
A quoi peut bien être dû ce coup de blues lors de cette randonnée te demandes tu ? L'âge ; en vieillissant, on s'inquiète souvent beaucoup plus, et peut-être aussi l'idée de revoir tes vieilles connaissances en Haute Savoie.
Je remarque que Marti se régale avec la boite froide de lasagnes bolognaises. Quand il fait chaud, ça ne doit pas être mauvais.
Pour BALADART, le fait que les parents avec enfants ne s'arrêtent pas n'est guère surprenant : manque de curiosité, d'intérêt. Et puis, c'est la course aux courses.. Ou alors les gens n'ont pas envie de donner, donc ne s'arrêtent pas. Bon, quand même Super U vous a permis à nouveau de faire des rencontres sympas à travers SUPER BALADART et les MAGNIFIQUES YOYOS de MARTI.
Eh bien dis donc, l'accueil n'est pas chaleureux dans le Mâconnais. Et les pharmacies sembleraient bien un peu sous équipées. Bon c'est une région viticole.
Que faut il penser de ce passage où tu écris que la valise dort avec vous ? Problème de confiance ?
Oui Isabelle, malheureusement ce qui se dit se trouve confirmé par votre vécu, les gens du Nord sont beaucoup plus accueillants et chaleureux que les Sudistes, superficiels et égocentriques.
Heureusement que Marti est là pour te redonner la pêche et ça fait du bien de vous voir en photo tous les deux si souriants.
Mais je me rends compte que tu es très perturbée en lisant ce passage où tu es prête à laisser de l'argent "dans la nature " pour remplacer ta roue. Heureusement que ton Titi a gardé son sang sang-froid et t'a fait entendre raison.
L'histoire de Gégé n'est pas très rassurante.. Ça fait un peu coupe-gorge cet endroit, vols dans les cimetières.
Ohlala l'accident des 2 petits faons est arrivée à Peter ? Ils sont incroyables ces animaux qui ne fuient pas. Je suis d'accord avec toi Isabelle, où étaient les mamans ? De toute façon, avec ces énormes engins agricoles, c'est impossible de voir quoi que ce soit à ras de terre , ce sont des monstres. Ne te culpabilise pas Peter,
chantal
il y a 2 ans
50 km à vélo quand on n'a pas l'habitude, c'est une prouesse . Tu as dû t'en souvenir quelques jours Éric, Bravo. Et même pas pour le plaisir !
Dans la vie, il paraît qu'il ne"il ne faut jamais dire jamais ". Eh bien ça se vérifiera pour le stop du 31 mai. Et pour comble, un chat nommé Oscar.
Marti, tu as eu une très bonne idée de casser ta tirelire pour le bien-être des lunettes de Soleil que tu portes à merveille.
Voilà une nouvelle étape riche de contacts, d'anecdotes, mais aussi de passages difficiles. Je suis impatiente de découvrir la partie 9. Gros bisous à tous
les fourmidables
il y a 2 ans
Coucou, me revoilà,
Nous aussi nous sommes déçus, nous avions installé un gilet jaune sur la haie, juste avant de tourner dans un petit chemin, en plus, nous avions fait peu de km pour vous revoir, nous avons attendu, nous y sommes restés deux nuits (je crois.), merci de nous avoir chercher plus loin, en bas de la descente, il y avait une sorte d’épicerie fine où nous n’avons rien acheté, c’est vrai, nous, nous étions dans le jardin de la maison à côté, ouh ! Ha ! Ça m’énerrrrrrrve.
Pour les bonbons le soir dans la tente, je reprendrai une phrase de Jacques Brel : « Mais les bonbons, c’est tellement bon ».
Pour la raide partie, trop de gens se retrouvent devant leur télé le soir avec des infos, des journalistes qui font peur à tout le monde. On n'a pas la tête pour une raide partie ?
« Vindiou », un terme bien de la campagne, qui sort des tripes (de l’intérieur) sans fierté.
Un tracteur Lamborghini, la classe, mais c’est vrai que l’eau était marron. Sur le retour, nous mangions avec Andie sur un banc, près de l’école de St Point, le maire est passé et a reconnu les remorques, il était très content de nous revoir et nous aussi, nous avons parlé longtemps, lui qui ne parlait pas beaucoup au départ. Il nous a demandé si nous voulions dormir de nouveau dans son champ. Il nous a avoué ne pas avoir ramassé toutes les bottes de foin le soir où nous y étions, pour ne pas gêner notre sommeil.
Voilà que je fais jeune, penser que je suis une cougar ? Pour être le cougar, il faut juste de l’argent. J’y penserai peut-être si je fais fortune. Je rigole.
J’ai cherché longtemps pourquoi j’avais le blues sur cette randonnée, je l’explique vers la fin du blog. Quand je suis partie vivre en Haute-Savoie, je quittais tous mes repères, ma stabilité, cela m’a fait pleurer tous les jours pendant un an, Éric ne comprenait pas, pour lui, partir, c’était quitter un quartier des sablons, c’était commencer une nouvelle vie. Après, j’ai travaillé au bar, là aussi, c’était dur au début, moi qui n’étais presque jamais rentrée dans un bar, cela m'a forgé un caractère, avec des patrons et des collègues en or. Au moment où je me sentait bien, j’ai voulu rentrer pour avoir des enfants près de ma famille, une erreur, disons qu’une famille lointaine, c’est pas mal aussi. Mais si nous n’étions pas rentrés, nous ne vous aurions pas connu, et même si j’ai souffert de mon départ et de mon retour, cela a un sens, voilà pourquoi, j’avais le blues. Mais retrouver, mes patrons, leur famille, les serveuses et leur mari, fut un merveilleux moment.
Parfois, il faut dormir avec la valise sous l’oreiller, il n’y avait pas grand-chose, mais je tiens à mes objets de pas-grand-chose.
Pour la roue que je voulais prendre en laissant de l’argent dans cette décharge appartenant à Gégé, c’était du n’importe quoi, heureusement que Marti était là, mais Gégé est un « bazardiste » organisé, là où nous avons vu des objets entassés à ciel ouvert, Gégé, c’est parfaitement où se trouve les choses, un vrai magasinier.
Pour Peter, cela l'a touché avec ses petits faons qui sont nés en pleine moisson.
Éric qui fait 40 km (aller-retour), pour aller chez le dentiste, il mérite une médaille ou une couronne (jeu de mots, avec la couronne des dents).
Gros bisous Hervé et Chantal.
Les Fourmidables.
Hervé
il y a 2 ans
Finalement pour prouver que je lis bien le bloc, je choisi quand même d'écrire un peu.
Isabelle qui fait l'autruche, je ne l'aurais pas cru mais peut-être pensait elle à son Peter.
« pas d'Hervé et Chantal » : un au-revoir difficile de moins.
« approcher une biche à 2m » : Marti tu es vraiment fait pour être un photographe animalier.
« Des Jésus en sucre » ! Je le dirai aux sœurs de Neufchâtel.
2 jours à 12 km de nous, c'est trop bête de vouloir voyager sans moyen de communication !
« 7000 km à pied avec un chariot » et oui il y a toujours plus dingue.
« soixante huitard » pourquoi, il avait la barde et les cheveux longs ? Sympa de penser à moi mais tu m'expliqueras pourquoi tu penses que je suis toujours dans la recherche.
« TRAMAYES » Encore 2 jours à seulement 32 km de nous !!! Finalement, vous avez préféré la compagnie de vieux qui ont plus la pêche que moi.
« Marti a mal à la tête » voilà ce que c'est de manger chez des inconnus.
Pourquoi avoir écrit « les grandes découvertes sont souvent le fruit du hasard », ce qui est faux du reste.
« Cette femme a de l'énergie, comme Hervé et Chantal » plus Chantal maintenant.
1,54 de glycémie, il va falloir recommencer à refuser les invitations .
Et bien non, elle accepte encore la gourmande.
« Comme une bécasse », c'est plus mignon que bêtasse.
Finalement vous avez bien fait de partir, vous n'en auriez pas autant appris avec nous, vive les institutrices !
Ça devrait être interdit les chiens à côté des cimetières !
Incroyable cette histoire d'eau à St Point, ce maire aurait il peur de l'eau javellisée ? Il a raison !
Dans ce cas le mot fière, tu peux le répéter souvent.
Voyons Isabelle GIC=Grand Invalide Civil
Encore des petits Jésus !
Non, non, les gens ne sont pas gentils, ils sont trompés par ton visage de clown.
Comment ça, Ç'ian n'a pas un petit nom !
« tournée de linge » Évidemment tu n'as pas voulu demander aux personnes qui vous ont si gentiment accueillis. Je suis d'ailleurs épaté par déjà toutes ces personnes qui vous ont accueillis en si peu de kilomètres depuis le gîte, ma misanthropie en prend un coup.
« Pas d'eau de javel » Marti, bien imaginé, tu es bien le fils de ta maman.
« Jeu pour dormir » moi ça risquerait plutôt de m'énerver.
« l'argent disparaît » C'est ce que tu voudrais Isabelle mais il ne disparaît pas, il change de bourse.
Ah Peter le perfectionniste !
Pour vous consoler, disons que les gens ne s'arrêtent pas parce qu'il n'ont pas le temps.
« Escroc », tiens, enfin la rencontre d'un vrai malhonnête
Et oui nous les avons cherché et les avons ratés à 400 mètres près puisque, d'après Eric, vous étiez à proximité d'une station d'épuration, exactement ici : https://maps.app.goo.gl/yJbUye7GmJBcbg6w8
Si nous vous manquions, nous vous avons manqué de peu, c'était le jeudi 25. C'est tellement rageant que, si Isabelle continue ses rando sans téléphone, nous ne recommencerons plus.
« soir --> Petit déjeuner » ?
C'est quoi qui est meilleur coupé à la main ?
C'est quand même incroyable, pour un presque misanthrope, que vous trouviez des personnes pour vous accueillir tous les 5 km !
Bravo pour le dessin récapitulatif !
Un Eric qui s'aime et des coquelicots, te voilà comblé Isabelle.
Peut-être que dans la mâconnais, il y a plus de cons qu'ailleurs.
Bon, il y en a quand même 2 qui accepte au même endroit, ça compense.
Mais où est la photo du bateau de Marti ?
Trop émouvant le passage sur Peter mais que faire : des caméras infrarouge et moissonner la nuit ?
Comment ça, tu as trouvé un docteur acceptant de te recevoir !
Avec le dentiste, tout rentre dans l'ordre.
C'est quoi « EVID », un abréviation de jeunes qui signifie évidemment ?
Dis Isabelle, je pourrais jouer à ce jeu de dès avec toi ?
Je voudrais t'y voir caissière !
Tu vois Isabelle, avec l'argent, Marti réagit à ton comportement, c'est habituel.
Avec ta colère contre les gens du Sud, encore une fois tu montres que la géographie et toi ça fait au moins deux. Là vous n'alliez pas au Sud mais plutôt à l'Est, c'est peut-être le passage de la Saône qui a tout changé. De l'autre côté, avec le vignoble, c'est plus riche. A ce propos pourquoi choisi tu de préférence les maisons bien entretenues qui risquent d'appartenir à des personnes trop maniaques pour accueillir ?
Bravo Marti pour ce minuscule bateau.
Pauvre Gégé, encore une histoire humaine sordide...
Bon, j'arrête de commenter, trop long, je vais juste me contenter de poser des questions quand je ne comprends pas tout mais je donnerai mes impressions à la fin de chaque partie et là je ne peux pas faire autrement que de remercier Isabelle t'apporter, avec autant de détails, que voyager lentement permet de faire des rencontres extraordinaires mais aussi de constater qu'en France il y a encore endroits paumés où il fait bon vivre et des personnes qui se moquent du soit disant progrès.
fourmidables
il y a 2 ans
Bonjour Hervé et Chantal, enfin là, c'est Hervé.
Je vous crois Hervé et même si vous ne lisiez pas ,c'est pas grave, je sais que vous avez pas mal de travail pour nous envoyer les récits de vos voyages qui nous font rêver et rire quand il y a certaines vidéos où vous déplacez un cailloux pour passer sur un chemin, vous été irremplaçables, merci.
Oui, pas de téléphone sur nos voyages, c'est vrai ,à cause de cela, vous ne nous avez pas retrouvé, mais nous, nous savons à quel point notre amitié est importante, car nous avons espéré vous voir, la déception, la tristesse, c'est tous ces sentiments que les gens oublient avec ce téléphone, ils ne s'inquiètent plus, ils téléphonent et ils savent toujours où sont les autres.
Vous êtes toujours dans la recherche? Et bien oui, vous cherchez toujours quelque chose, le nom d'une fleur......et vous informez vos amis de vos découvertes , ainsi, nous devenons plus cultivé, moi j'oublie les noms, mais c'est pas grave, je prends les infos quand même.
Vous êtes irremplaçables. Je radote.
Si si Hervé! parfois les grandes découvertes sont le fruit du hasard, Pasteur avec son vaccin
la sérendipité de Newton; les allumettes; la pénicilline, l'insuline....
Pour l'eau marron de saint point, elle était certainement plus pure que l'eau transparente qui cache bien des choses, mais voilà, la vue nous emmène vers des questions: " on la boit ou pas?"
G.I.C. oui je suis nul sur les abréviations et pour mon EVID, rien à voir avec une abréviation, juste que je devais regarder comment s'écrivait évidemment et j'ai oublié.
Pour la petite boutique de Lasette, nous avons eu des nouvelles, elle a été obligé de fermer, Alzheimer et le commerce ne sont pas compatibles d'après sa famille. Nous sommes heureux de l'avoir connu et d'avoir ouvert la porte d'un commerce de l'autre temps.
Peut être que M.D. va s'y implanter?
Pour mettre plus de photos il faut que je supplie Peter qui est mon rédacteur en chef et c'est pas facile, donc, une seule photo du bateau de Marti.
C'ian n'a pas de surnom, c'est vrai, c'est MA C'IAN. J'aime tous les prénoms de mes enfants, mais j'attendais de pouvoir donner ce prénom qui vient d'une bande dessinée et qui depuis a été repris par des polecs ( parents oubliant leur enfant chéri) en manque d'imagination.
Ok, la prochaine fois que nous nous voyons, nous jouerons au jeu des 10000.
Je choisi là où nous passons nos nuits en fonction de la propreté des lieux, cela n'évite pas tout, mais cela fait beaucoup, je vous laisse méditer sur cette dernière phrase que j'ai écrit sans réfléchir, je suis trop forte.
Les Fourmidables.
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Commentaires
La partie 8 (93 pages), un petit livre, étant énorme, les commentaires seront certainement en plusieurs parties.
5 km de plus par rapport à l'endroit où nous nous sommes retrouvés le jour de votre départ, c'est rageant, on aurait pu encore passer un peu de temps ensemble, les boules un peu quand même. Vous avez dû être déçus de ne pas nous voir débarquer. Mais voilà, ne sachant pas les routes que vous alliez emprunter, on attendait quelques jours pour que, au cours d'un appel à Ricouillet, tu leur donnes ta localisation. Et nous avions alors l'idée de vous retrouver le surlendemain. Sachant ce qui s'est passé après, j'ai des regrets de ne pas avoir tenté. Bah ! L'histoire est faite.
Nous avons raté cette maison du bonheur.
Et voilà encore une coïncidence. Rencontrer quelqu'un qui a une fille habitant près d'Alençon...
Rue de la gendarmerie- maison du bonheur, étonnant tout ça.
Marti ferait'il un bon inspecteur ? En tout cas, les réflexes sont là.
Qu'est-ce que c'est cette éducation ? Manger des bonbons le soir après s'être brossés les dents ? J'y crois pas, surtout quand on voit vos super sourires à tous ! Comme quoi, il n'y a pas vraiment de règles.
Suspects d'une "raide partie ", les personnes âgées sont bien au courant de l'actualité.
Des crêpes friables sur de la glace, ça doit être un régal. Ouais c'est chouette de repartir avec des attentions de vos hôtes.
Il y a des personnes au moins aussi folles que vous : courir un chariot à la taille, ça je n'ai jamais vu ni entendu. "Vindiou", "le temps fait dormir les légumes ", etc, etc, c'est incroyable ce que ce que vous avez pu partager. Marti a un sens d'observation aiguisé et on se demande où il puise son énergie débordante. Oui je suis d'accord avec toi Isabelle, à 80 ans, avoir l'énergie de ce couple, alors ça vaut le coup de vieillir.
Partie 8 page 30
Je suis d'accord avec Marti, l'eau proposée par le maire, n'inspire pas confiance. Sans doute, comme tu l'écris Isabelle, avons nous tort. Il faut parfois laisser l'aspect de côté... "Lamborghini" te poursuit Marti. Tu aurais bien des goûts de luxe.
Les remarques à l'égard de ton physique sont flatteuses bien sûr et pertinentes mais je crains que ces personnes aient tout de même un problème d'appréciation pour Marti... ou de vue.... J'imagine le plaisir que cela t'a procuré. Ça fait du bien.
Ouais le linge sur l'herbe, ça fait bien manouche.
Tiens tiens Marti a des envies d'exotisme, triangle des Bermudes. Faut bien rêver.
Après avoir eu Eric au téléphone nous disant que vous étiez sur St Point, nous décidons d'aller à votre rencontre, préparons le repas et filons. Avons bien vu le château de Lamartine mais point de temps pour s'y attarder, pas plus que le cimetière. Bien sûr nous interrogeons mais personne n'a vu ce genre de randonneurs. Il y a un petit marché local où nous achetons des pâtisseries, jus de pomme, dans l'espoir... Nous faisons plein de routes mais pas d'indices. Alors nous poursuivons
en montant à 529 m sur 4,5 km en voiture. Pas une goutte de sueur. Et là, au col, une maison où nous avons appris par les propriétaires que vous étiez bien passés là et que vous leur aviez parlé ! Super contents, nous attaquons la descente, étendues de vignes magnifiques, c'est la Bourgogne et arrivons à Pierreclos. Là un bistrot-épicerie où vous avez été vus, sans rien acheter il y a environ 2 h. Alors là, bien décidés à vous trouver, nous battons la campagne mais au bout d'un temps, il est déjà tard et désespérés, nous allons devoir regagner le gîte sans vous avoir vus. Et là, énorme déception. Pire encore quand le lendemain, Eric nous apprendra que nous sommes passés à quelques mètres de la maison, paradis des canards.
Partie 8
A quoi peut bien être dû ce coup de blues lors de cette randonnée te demandes tu ? L'âge ; en vieillissant, on s'inquiète souvent beaucoup plus, et peut-être aussi l'idée de revoir tes vieilles connaissances en Haute Savoie.
Je remarque que Marti se régale avec la boite froide de lasagnes bolognaises. Quand il fait chaud, ça ne doit pas être mauvais.
Pour BALADART, le fait que les parents avec enfants ne s'arrêtent pas n'est guère surprenant : manque de curiosité, d'intérêt. Et puis, c'est la course aux courses.. Ou alors les gens n'ont pas envie de donner, donc ne s'arrêtent pas. Bon, quand même Super U vous a permis à nouveau de faire des rencontres sympas à travers SUPER BALADART et les MAGNIFIQUES YOYOS de MARTI.
Eh bien dis donc, l'accueil n'est pas chaleureux dans le Mâconnais. Et les pharmacies sembleraient bien un peu sous équipées. Bon c'est une région viticole.
Que faut il penser de ce passage où tu écris que la valise dort avec vous ? Problème de confiance ?
Oui Isabelle, malheureusement ce qui se dit se trouve confirmé par votre vécu, les gens du Nord sont beaucoup plus accueillants et chaleureux que les Sudistes, superficiels et égocentriques.
Heureusement que Marti est là pour te redonner la pêche et ça fait du bien de vous voir en photo tous les deux si souriants.
Mais je me rends compte que tu es très perturbée en lisant ce passage où tu es prête à laisser de l'argent "dans la nature " pour remplacer ta roue. Heureusement que ton Titi a gardé son sang sang-froid et t'a fait entendre raison.
L'histoire de Gégé n'est pas très rassurante.. Ça fait un peu coupe-gorge cet endroit, vols dans les cimetières.
Ohlala l'accident des 2 petits faons est arrivée à Peter ? Ils sont incroyables ces animaux qui ne fuient pas. Je suis d'accord avec toi Isabelle, où étaient les mamans ? De toute façon, avec ces énormes engins agricoles, c'est impossible de voir quoi que ce soit à ras de terre , ce sont des monstres. Ne te culpabilise pas Peter,
50 km à vélo quand on n'a pas l'habitude, c'est une prouesse . Tu as dû t'en souvenir quelques jours Éric, Bravo. Et même pas pour le plaisir !
Dans la vie, il paraît qu'il ne"il ne faut jamais dire jamais ". Eh bien ça se vérifiera pour le stop du 31 mai. Et pour comble, un chat nommé Oscar.
Marti, tu as eu une très bonne idée de casser ta tirelire pour le bien-être des lunettes de Soleil que tu portes à merveille.
Voilà une nouvelle étape riche de contacts, d'anecdotes, mais aussi de passages difficiles. Je suis impatiente de découvrir la partie 9. Gros bisous à tous
Coucou, me revoilà,
Nous aussi nous sommes déçus, nous avions installé un gilet jaune sur la haie, juste avant de tourner dans un petit chemin, en plus, nous avions fait peu de km pour vous revoir, nous avons attendu, nous y sommes restés deux nuits (je crois.), merci de nous avoir chercher plus loin, en bas de la descente, il y avait une sorte d’épicerie fine où nous n’avons rien acheté, c’est vrai, nous, nous étions dans le jardin de la maison à côté, ouh ! Ha ! Ça m’énerrrrrrrve.
Pour les bonbons le soir dans la tente, je reprendrai une phrase de Jacques Brel : « Mais les bonbons, c’est tellement bon ».
Pour la raide partie, trop de gens se retrouvent devant leur télé le soir avec des infos, des journalistes qui font peur à tout le monde. On n'a pas la tête pour une raide partie ?
« Vindiou », un terme bien de la campagne, qui sort des tripes (de l’intérieur) sans fierté.
Un tracteur Lamborghini, la classe, mais c’est vrai que l’eau était marron. Sur le retour, nous mangions avec Andie sur un banc, près de l’école de St Point, le maire est passé et a reconnu les remorques, il était très content de nous revoir et nous aussi, nous avons parlé longtemps, lui qui ne parlait pas beaucoup au départ. Il nous a demandé si nous voulions dormir de nouveau dans son champ. Il nous a avoué ne pas avoir ramassé toutes les bottes de foin le soir où nous y étions, pour ne pas gêner notre sommeil.
Voilà que je fais jeune, penser que je suis une cougar ? Pour être le cougar, il faut juste de l’argent. J’y penserai peut-être si je fais fortune. Je rigole.
J’ai cherché longtemps pourquoi j’avais le blues sur cette randonnée, je l’explique vers la fin du blog. Quand je suis partie vivre en Haute-Savoie, je quittais tous mes repères, ma stabilité, cela m’a fait pleurer tous les jours pendant un an, Éric ne comprenait pas, pour lui, partir, c’était quitter un quartier des sablons, c’était commencer une nouvelle vie. Après, j’ai travaillé au bar, là aussi, c’était dur au début, moi qui n’étais presque jamais rentrée dans un bar, cela m'a forgé un caractère, avec des patrons et des collègues en or. Au moment où je me sentait bien, j’ai voulu rentrer pour avoir des enfants près de ma famille, une erreur, disons qu’une famille lointaine, c’est pas mal aussi. Mais si nous n’étions pas rentrés, nous ne vous aurions pas connu, et même si j’ai souffert de mon départ et de mon retour, cela a un sens, voilà pourquoi, j’avais le blues. Mais retrouver, mes patrons, leur famille, les serveuses et leur mari, fut un merveilleux moment.
Parfois, il faut dormir avec la valise sous l’oreiller, il n’y avait pas grand-chose, mais je tiens à mes objets de pas-grand-chose.
Pour la roue que je voulais prendre en laissant de l’argent dans cette décharge appartenant à Gégé, c’était du n’importe quoi, heureusement que Marti était là, mais Gégé est un « bazardiste » organisé, là où nous avons vu des objets entassés à ciel ouvert, Gégé, c’est parfaitement où se trouve les choses, un vrai magasinier.
Pour Peter, cela l'a touché avec ses petits faons qui sont nés en pleine moisson.
Éric qui fait 40 km (aller-retour), pour aller chez le dentiste, il mérite une médaille ou une couronne (jeu de mots, avec la couronne des dents).
Gros bisous Hervé et Chantal.
Les Fourmidables.
Finalement pour prouver que je lis bien le bloc, je choisi quand même d'écrire un peu.
Isabelle qui fait l'autruche, je ne l'aurais pas cru mais peut-être pensait elle à son Peter.
« pas d'Hervé et Chantal » : un au-revoir difficile de moins.
« approcher une biche à 2m » : Marti tu es vraiment fait pour être un photographe animalier.
« Des Jésus en sucre » ! Je le dirai aux sœurs de Neufchâtel.
2 jours à 12 km de nous, c'est trop bête de vouloir voyager sans moyen de communication !
« 7000 km à pied avec un chariot » et oui il y a toujours plus dingue.
« soixante huitard » pourquoi, il avait la barde et les cheveux longs ? Sympa de penser à moi mais tu m'expliqueras pourquoi tu penses que je suis toujours dans la recherche.
« TRAMAYES » Encore 2 jours à seulement 32 km de nous !!! Finalement, vous avez préféré la compagnie de vieux qui ont plus la pêche que moi.
« Marti a mal à la tête » voilà ce que c'est de manger chez des inconnus.
Pourquoi avoir écrit « les grandes découvertes sont souvent le fruit du hasard », ce qui est faux du reste.
« Cette femme a de l'énergie, comme Hervé et Chantal » plus Chantal maintenant.
1,54 de glycémie, il va falloir recommencer à refuser les invitations .
Et bien non, elle accepte encore la gourmande.
« Comme une bécasse », c'est plus mignon que bêtasse.
Finalement vous avez bien fait de partir, vous n'en auriez pas autant appris avec nous, vive les institutrices !
Ça devrait être interdit les chiens à côté des cimetières !
Incroyable cette histoire d'eau à St Point, ce maire aurait il peur de l'eau javellisée ? Il a raison !
Dans ce cas le mot fière, tu peux le répéter souvent.
Voyons Isabelle GIC=Grand Invalide Civil
Encore des petits Jésus !
Non, non, les gens ne sont pas gentils, ils sont trompés par ton visage de clown.
Comment ça, Ç'ian n'a pas un petit nom !
« tournée de linge » Évidemment tu n'as pas voulu demander aux personnes qui vous ont si gentiment accueillis. Je suis d'ailleurs épaté par déjà toutes ces personnes qui vous ont accueillis en si peu de kilomètres depuis le gîte, ma misanthropie en prend un coup.
« Pas d'eau de javel » Marti, bien imaginé, tu es bien le fils de ta maman.
« Jeu pour dormir » moi ça risquerait plutôt de m'énerver.
« l'argent disparaît » C'est ce que tu voudrais Isabelle mais il ne disparaît pas, il change de bourse.
Ah Peter le perfectionniste !
Pour vous consoler, disons que les gens ne s'arrêtent pas parce qu'il n'ont pas le temps.
« Escroc », tiens, enfin la rencontre d'un vrai malhonnête
Et oui nous les avons cherché et les avons ratés à 400 mètres près puisque, d'après Eric, vous étiez à proximité d'une station d'épuration, exactement ici : https://maps.app.goo.gl/yJbUye7GmJBcbg6w8
Si nous vous manquions, nous vous avons manqué de peu, c'était le jeudi 25. C'est tellement rageant que, si Isabelle continue ses rando sans téléphone, nous ne recommencerons plus.
« soir --> Petit déjeuner » ?
C'est quoi qui est meilleur coupé à la main ?
C'est quand même incroyable, pour un presque misanthrope, que vous trouviez des personnes pour vous accueillir tous les 5 km !
Bravo pour le dessin récapitulatif !
Un Eric qui s'aime et des coquelicots, te voilà comblé Isabelle.
Peut-être que dans la mâconnais, il y a plus de cons qu'ailleurs.
Bon, il y en a quand même 2 qui accepte au même endroit, ça compense.
Mais où est la photo du bateau de Marti ?
Trop émouvant le passage sur Peter mais que faire : des caméras infrarouge et moissonner la nuit ?
Comment ça, tu as trouvé un docteur acceptant de te recevoir !
Avec le dentiste, tout rentre dans l'ordre.
C'est quoi « EVID », un abréviation de jeunes qui signifie évidemment ?
Dis Isabelle, je pourrais jouer à ce jeu de dès avec toi ?
Je voudrais t'y voir caissière !
Tu vois Isabelle, avec l'argent, Marti réagit à ton comportement, c'est habituel.
Avec ta colère contre les gens du Sud, encore une fois tu montres que la géographie et toi ça fait au moins deux. Là vous n'alliez pas au Sud mais plutôt à l'Est, c'est peut-être le passage de la Saône qui a tout changé. De l'autre côté, avec le vignoble, c'est plus riche. A ce propos pourquoi choisi tu de préférence les maisons bien entretenues qui risquent d'appartenir à des personnes trop maniaques pour accueillir ?
Bravo Marti pour ce minuscule bateau.
Pauvre Gégé, encore une histoire humaine sordide...
Bon, j'arrête de commenter, trop long, je vais juste me contenter de poser des questions quand je ne comprends pas tout mais je donnerai mes impressions à la fin de chaque partie et là je ne peux pas faire autrement que de remercier Isabelle t'apporter, avec autant de détails, que voyager lentement permet de faire des rencontres extraordinaires mais aussi de constater qu'en France il y a encore endroits paumés où il fait bon vivre et des personnes qui se moquent du soit disant progrès.
Bonjour Hervé et Chantal, enfin là, c'est Hervé.
Je vous crois Hervé et même si vous ne lisiez pas ,c'est pas grave, je sais que vous avez pas mal de travail pour nous envoyer les récits de vos voyages qui nous font rêver et rire quand il y a certaines vidéos où vous déplacez un cailloux pour passer sur un chemin, vous été irremplaçables, merci.
Oui, pas de téléphone sur nos voyages, c'est vrai ,à cause de cela, vous ne nous avez pas retrouvé, mais nous, nous savons à quel point notre amitié est importante, car nous avons espéré vous voir, la déception, la tristesse, c'est tous ces sentiments que les gens oublient avec ce téléphone, ils ne s'inquiètent plus, ils téléphonent et ils savent toujours où sont les autres.
Vous êtes toujours dans la recherche? Et bien oui, vous cherchez toujours quelque chose, le nom d'une fleur......et vous informez vos amis de vos découvertes , ainsi, nous devenons plus cultivé, moi j'oublie les noms, mais c'est pas grave, je prends les infos quand même.
Vous êtes irremplaçables. Je radote.
Si si Hervé! parfois les grandes découvertes sont le fruit du hasard, Pasteur avec son vaccin
la sérendipité de Newton; les allumettes; la pénicilline, l'insuline....
Pour l'eau marron de saint point, elle était certainement plus pure que l'eau transparente qui cache bien des choses, mais voilà, la vue nous emmène vers des questions: " on la boit ou pas?"
G.I.C. oui je suis nul sur les abréviations et pour mon EVID, rien à voir avec une abréviation, juste que je devais regarder comment s'écrivait évidemment et j'ai oublié.
Pour la petite boutique de Lasette, nous avons eu des nouvelles, elle a été obligé de fermer, Alzheimer et le commerce ne sont pas compatibles d'après sa famille. Nous sommes heureux de l'avoir connu et d'avoir ouvert la porte d'un commerce de l'autre temps.
Peut être que M.D. va s'y implanter?
Pour mettre plus de photos il faut que je supplie Peter qui est mon rédacteur en chef et c'est pas facile, donc, une seule photo du bateau de Marti.
C'ian n'a pas de surnom, c'est vrai, c'est MA C'IAN. J'aime tous les prénoms de mes enfants, mais j'attendais de pouvoir donner ce prénom qui vient d'une bande dessinée et qui depuis a été repris par des polecs ( parents oubliant leur enfant chéri) en manque d'imagination.
Ok, la prochaine fois que nous nous voyons, nous jouerons au jeu des 10000.
Je choisi là où nous passons nos nuits en fonction de la propreté des lieux, cela n'évite pas tout, mais cela fait beaucoup, je vous laisse méditer sur cette dernière phrase que j'ai écrit sans réfléchir, je suis trop forte.
Les Fourmidables.